l’homéopathie vue par rajan sankaran

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L’esprit de l’homéopathie

+ The sensation in Homoeopathy

Rajan Sankaran

La loi de similitude

On administrera en dose homéopathique, la substance causant à forte dose les symptômes présentés par le patient. Hippocrate : « similia similibus curentur »

Dilution

En homéopathie, on utilise des dilutions allant de la teinture mère jusqu’à CM (100 000). Pour connaître le rapport matière sucre : dilué à n ch on aura une proportionsmurf.

La Pathogénésie désigne l’ensemble les signes (ou symptômes) provoqués par une substance quelconque, dynamisée ou pas, sur plusieurs personnes censément en bonne santé. Le terme a été créé par Samuel Hahnemann, inventeur de l’homéopathie

On considère le malade comme un tout, et comme un individu, Sir William Osler « c’est l’individu et non la maladie qui est l’entité », l’homéopathe voit au-delà des symptômes locaux. Il n’y a pas de substance contre le rhume, la pneumonie, les hémorroïdes. Pour chacune de ses maladies, il existe plusieurs remèdes qui peuvent convenir, mais il faudra sélectionner le bon en tenant compte des autres symptômes. Tout particulièrement des heures d’aggravation, le côté du corps affecté, les modalités, les sensations.

En observant l’enfant on peut déceler les maladies (méchantes : tuberculose, cancer, …) qu’il fera (éventuellement) plus tard, si on agit assez tôt on peu éviter bien des affections graves. La maladie est un processus en perpétuelle évolution, à surveiller de prés.

Les remèdes homéopathiques sont tirés de différentes sources :

Règne animal (tarentula cubensis) , règne minéral (natrum muriaticum), sarcodes c’est-à-dire tissus sains et sécrétions, règne végétal (lycopodium), nosodes c’est-à-dire substances pathogène (carcinosinum, hydrophobinum).

Les facteurs psychiques sont très importants pour déterminer la substance adaptée à un patient. Souvent ils sont efficaces, alors même qu’ils ne sont pas indiqués pour soigner l’affection physique du patient.

Pour les remèdes dynamisés au-delà de 30ch, il ne reste aucune molécule, juste l’énergie donc l’effet sera dynamique « les remèdes dynamiques, ont des effets dynamiques ».

Les symptômes psychiques et généraux (appelé altération centrale), sont valables pour tous, ce sont eux qui se manifestent en premier, alors que les symptômes particuliers ou locaux arrivent en dernier lieu et dépendent des personnes et de leurs sensibilités.

Pour mieux comprendre la particularité de chaque substance, il faut relier les différents symptômes qui la caractérisent dans la matière médicale : « c’est l’histoire du type qui …. » on aura une vue d’ensemble ou tous les symptômes ont un sens, et en plus c’est plus facile à mémoriser. On crée ainsi une matière médicale situationnelle.

Les enfants n’ont pas pu être confronté aux situations de notre nouvelle matière médicale, leur problème serait donc hérité de leurs parents. En général, la mère (et le père ? cf. exemple de Gandhi) transmet ses préoccupations et pensées (et donc ses illusions) pendant (vers la fin) la grossesse.

L’illusion est au centre de tout, l’état psychologique global n’est qu’une expression de cette fausse perception. Ce sont eux qui nous donnerons l’indication la plus précise pour trouver le remède, si on a juste pour les symptômes psychiques généraux et locaux, c’est même pas la peine de regarder si ça va traiter la maladie.

La maladie c’est avant tout un état d’être (la manière dont le patient se comporte, aime, n’aime pas, pense, sent. C’est une réponse adaptée pour survivre à une situation à un moment donné. Tant que la situation reste la même, il ne faut pas chercher à corriger la réaction, si par contre alors que la situation a changé, la réaction reste la même, on peut la considérer comme pathologique. Il y a maladie quand la réaction au stimulus est inadaptée (stimulus sans rapport avec la réaction)

Les racines sont la source des maladies que le patient exprimera. Elles sont crées lorsque le patient est soumis à un état intense pendant une durée prolongée. Mais il arrive que des fois la racine ai été crées in utero par la mère si elle a été elle-même dans un état intense prolongé durant la grossesse. En général les états prédominants et les racines des parents durant la conception seront aussi transmis.

Chacun d’entre nous a donc en lui plusieurs racines, qui s’exprimeront au gré des situations. La force ou profondeur d’une racine dépend du nombre de générations qu’elle a traversée, elle se fortifie à chaque transmission, on observe aussi que si la mère transmet une racine conjoncturelle qu’elle ne possède pas elle-même, elle a de forte chance d’être la racine chez l’enfant.

De toute les racines que possède une personne, une sort du lot à cause de sa virulence, elle éclipse les autres, on dira qu’elle est dominante et que les autres sont latentes. Après un traitement centré sur la racine dominante, elle régresse et devient latente, laissant la seconde plus virulente devenir la dominante. A mesure que l’on soigne une personne, d’anciennes racines dominantes traitées peuvent revenir à l’état de dominance.

On peut avoir un état maladif, dominant ou silencieux, qui n’est pas causé par une racine, mais notre mode de vie, des stimulations extérieures (épidémies, pollution, vaccin), si rien n’est fait une racine finira par se développer.

Une personne peut se mettre à agir comme si elle était en face d’un lion, alors qu’elle n’est confrontée qu’à un petit chien. En lui demandant, est ce que vous êtes en face d’un lion, on l’oblige a y regarder d’un peu plus prés est a prendre la situation pour ce qu’elle est. Le malade réagit comme si il prenait des doses massives de cuprum métallicum, l’homéopathe lui donne une doses très diluée de cuprum métallicum : – et mec ! Tu as du cuprum metallicum en toi ? – euh non, mais merde qu’est ce que je fabrique !!!!! Le travail de l’homéopathe est donc de trouver à quelle substance le malade correspond.

Contrairement a ce que dit la médecine allopathique : « la maladie vient d’un organe qui ne fonctionne pas correctement », en homéopathie on croit qu’elle (la maladie) est une perturbation de la force vitale. Il faut ne pas se focaliser sur les symptômes et organes.

L’axe P.N.E.I. (Psychique, neuro, endocrinien, immunitaire), contrôle les autres systèmes. Il est un peu la colonne vertébrale des systèmes. Et c’est sur lui que doivent se concentrer nos observations. L’ensemble des symptômes manifesté sur cet axe est appelé altération centrale. La partie la plus importante de cet axe est bien sur P , la partie psychique.

Chaque remède correspond à une sorte de possession par ???. la personne est victime d’une illusion, à la réalité objective, se sur imprime une vision pathologique. On peut découvrir l’illusion complexe en reliant les symptômes mentaux. Autant les symptômes physiques sont très séparés les uns des autres, autant il est possible de relier les mentaux entre eux pour voir émerger un motif, c’est ce que l’on appelle créer une matière médicale situationnelle. Une matière médicale qui associe au remède, un type de personnalité.

La maladie n’est pas exactement une illusion, c’est quelque chose qui vient avant, c’est une sensation, les mots et les maux viennent après pour en rendre compte.

Les miasmes

Si on les étudie sur le plan de l’illusion, on a :

  • psore = lutte, car la situation semble surmontable, il y a de l’espoir, des moments de doutes, mais de l’espoir quand même. Situation du permis.(adolescence)
  • sycose = la situation est vraiment bloquée mais c’est pas la fin du monde. En général on a lutté pendant un bon moment, et on baisse les armes. (je suis un *** incurable) je l’accepte, je vis avec, et je donne le change, je sauve les apparences. Actions compulsives, rituels, la zone de bien être se rabougri, et on se rigidifie dans ses idées et postures.
  • syphilis = destruction, tout est foutu, il n’y a plus d’espoir, j’abandonne la lutte. Désespoir, comportement (auto-) destructeur. On doit changer les choses radicalement ou repartir de zéro, là comme ça, c’est foutu. Idées rigides, limites fanatiques.

Aux trois miasmes découverts par Hahnemann, se sont ajoutés tuberculose, cancer et lèpre, et Sankaran a ajouté : aigu, typhoïde, malaria et mycose.

Petit classement des miasmes les uns par rapport aux autres

Mycose cancer

Psore sycose syphilis

Lèpre

Typhoïde tuberculose

Malaria (entre aigu et sycose)

Aigu

  • aigu : la situation est une menace de mort, intense, l’instinct prend le dessus. On prend la fuite, ou encore on reste paralysé (dans le pire des cas). C’est très ponctuel
  • typhoïde : (entre psore et aigu) , la situation est aigue, crise éclaire, la réponse est instinctive (aigu) mais combative (psore), on a l’intuition que ça peut être passager si on met un coup de collier.
  • Malaria : ça correspond au cas ou une situation très aigue se produit de manière assez régulière, avec un sentiment d’impuissance et de dépendance, la femme au foyer, battue par son mari quand il est ivre. La personne oscille entre acceptation et montées de rage, lamentations, fantasmes.
  • Mycose : alternance de démangeaison et de latence : alternance de lutte (psore) et d’acceptation démission (sycose). C’est le régime yo yo de l’obèse, je me force, je craque, (répéter jusqu’à la démission totale ou le suicide, lol)
  • Cancer : la situation semble hors de contrôle, mais en faisant un effort surhumain, peut-être …. Personnalité perfectionniste, méticuleuse. La personne se met la barre très haut.
  • Tuberculose : sentiment d’être opprimé, (exploité), pris au piège, le comportement devient hyper speed, hystérique, il faut que ça change et vite, ce n’est plus supportable
  • Lèpre : à l’impression que les gens le méprisent, il se sent piégé, maudit. Il alterne entre folie des grandeurs, il prend les gens de hauts, tous des cons, ou il s’isole car il se sent en dessous de tout. Je suis une merde et je vous emmerde.

Les règnes

Les remèdes sont de quatre types de sources : minérales (métal, anions, cations, sels et acides) , végétales, animales (araignées, insectes, mammifères, serpents et nosodes.

  • Les minéraux : structure et organisation. La problématique est prégnante quand la structure (perte d’un emploi, fin d’une relation) vient à disparaître. Les patients auxquels on prescrit des minéraux sont organisés, très structurés.
    • Métaux : performance et défense, à mesure que l’on descend dans le tableau de Mendeleïev la défense devient prédominante sur la performance et au niveau miasmatique on progresse de la psore à la syphilis.
    • Cations (+): le nécessité de la relation.
    • Anions (-): les efforts pour maintenir une relation
    • Les sels : union d’un anion et d’un cation, comme natrum (Na+) muriaticum (Cl-) , désir très fort d’une relation du sodium et l’attente d’une déception, d’un rejet et l’absence de désir de relation chlorure.
    • Acides : lutte et essoufflement ex : soufre = je ne reçoit pas d’amour et d’affection, acide sulfurique = je fait des efforts pour m’intéresser au bien être d’autrui, pour leur être sympathique
  • Les plantes : la sensibilité, ce sont des gens émotionnels, désorganisés, à fleur de peau, artistes. Les botanistes ont classés les plantes en différentes familles, chaque famille a une sensation en commun, exprimé à des degrés divers. Les différentes plantes d’un même groupe correspondent aux différents miasmes, et aux intensités de désespoir correspondantes. Pour identifier la plante qui correspond à la personne, il faut observer sa sensation et sa réaction.
  • Les Animaux : la compétition (survival of the fitest), comportement agressif, envie d’emporter le morceau.
    • Araignées : calculateurs, destructeur, sensibles, amoraux, rêveur
    • Insectes : bougeotte, coléreux, malicieux
    • Mammifères : sens du groupe, relations avec la famille, instinct maternel, PMS, sexualité réprimée
    • Serpents : manipulateur, loquace, pulsion homicide
  • Nosodes : degrés de désespoir, en fait c’est un sentiment généralisé de lutte pour Psorinum, inadéquation pour Medorrhinum.

Créer un système homéopathique pour trouver les substances avec plus d’efficacité a demandé un grand travail. Le royaume ayant posé le plus de problèmes est celui des plantes car il était très difficile d’établir une corrélation entre chacune d’elles et les symptômes correspondants. Il se trouve aussi que certains provings (pour certains remèdes peu utilisés) sont incomplets, ce qui ne facilite pas la tache d’organisation. Pour s’aider et compléter certaines rubriques incomplètes de la matière médicale, il s’est appuyé sur différentes règles :

  • La sensation et l’action sont égales et opposées. Une personne qui a envie de tuer, qu’elle passe à l’acte ou non, vie l’impression qu’on (une personne, une maladie, une situation) la tue (au propre comme au figuré), ou a peur qu’on la tue. Inversement une personne comme platina à l’impression qu’on la méprise, et elle méprise à son tour les gens de manière plus ou moins ouvertes. Cette loi permet de trouver des indications sur le miasme relatif à un remède.
  • De tout ce que peux dire, l’inverse est aussi vrai. Les gens manifestent une certaine sensibilité pour un sujet donné, par exemple parler en publique, ils manifestent une face de la médaille, par exemple la peur, la paralysie, mais en débloquant la situation, ils pourraient devenir d’excellent orateurs, ils ont la sensibilité nécessaire. Quand une personne insiste sur le fait qu’elle n’a pas peur de x, indique qu’il y a aussi beaucoup de peur (refoulée, inconsciente, manifestée dans les rêves).
  • Il n’y a rien d’autre en se bas monde que moi-même. Ne nous trouble en autrui que ce à quoi nous sommes sensibles. En observant ce qui nous impressionne, nous exaspère, nous découvrons les endroits ou réside notre sensibilité. Quand un patient décris une personne, ou une situation, il dit beaucoup sur lui-même et sa sensibilité. On fait (décris) le monde à notre propre image.
  • Tu te fais ce que tu vois les autres te faire, et tu fais aux autres ce que tu aimes te faire. (corollaire 1) Les remèdes pour les tendances meurtrières et suicidaires sont souvent les mêmes.
  • Victimes et agresseurs sont deux faces d’un même état, la victime a en elle des graines d’agresseur et vice versa. C’est très intéressant quand on regarde un film drôle, ce qui nous amuse nous met dans la position d’agresseur, et donc révèle une sensibilité relative à la manière dont la victime est ridiculisée.

Ces trois lois et deux corollaires, sont très utiles pour trouver les remèdes dans le répertoire.

Recherche du remède adapté à un patient, on recherche conjointement le miasme et la sensation, connaître l’un nous aidera à trouver l’autre. Quand on connaît les deux, c’est comme si l’on connaissait les coordonnées géographiques d’un trésor, l’essentiel est fait, il ne reste plus qu’à regarder notre carte pour identifier la substance correspondant à ces coordonnées.

Comment différentier un règne par rapport à un autre

  • on se demande, considérant la situation, quelle est la question la plus adaptée :
    • qu’est ce qui me manques ? Qu’est ce que je perd ? (Minéral)
    • qu’est ce qui m’affecte ? (Plante)
    • Qui est ce qui me pose problème ? (Animal)
  • on peut aussi faire attention à la manière dont est exprimé la sensation :
    • je manque de, je perd, je suis incapable, quelque chose cloche en moi (minéral)
    • je suis affecté, heurté, transporté par … quelque chose à l’extérieur me fait réagir (végétal)
    • je suis plus fort/ faible que l’autre, le problème est à l’extérieur.
  • La réaction
    • Je dois me compléter, conserver ce que j’ai (minéral)
    • Face à l’indisposition, je dois m’engourdir, ou réagir (végétal)
    • Je dois m’améliorer, me soumettre ou vaincre.
  • Les expériences et situations
    • Elles me complètent, me structurent ou déstructurent
    • La situation stimule, choque, calme, excite
    • Me fait me sentir meilleur, plus faible que les autres
  • Les relations
    • Qu’est ce que j’en retire ? qu’est ce que j’y perd ?
    • Comment est ce que cela m’affecte ?
    • Qui domine, qui se soumet, comparaison

Pour les nosodes, ces remèdes sont fait à partir de tissus atteints, seule compte la maladie, et la réponse du corps à celle-ci. Ils ne sont pas liés à un règne particulier. On sait qu’on a affaire à un nosode quand le patient manifeste le même niveau d’altération à tous les niveaux, quand on ne peut discerner une problématique proéminente lié à un des trois règnes, juste une profusion de problèmes humains vécu avec le même niveau de désespoir.

Confusion possible

Quand une personne parle de ses sentiments, elle peut employer toute une gamme d’expressions qui risque de nous induire en erreur. C’est la sensation et non l’émotion qui nous renseigne sur le règne et sur le miasme. Souvent nous utilisons des expressions toute faite (ex : ça déchire, je suis explosé, je me sent cassé en deux) qui sont sans rapport avec notre sensation. Il faut écouter pour voir si l’expression est récurrente, questionner le patient à son propos, voir la gestuelle (surtout si elle est inadéquate) , si le patient utilise des synonymes, si ça se rapporte a autre chose qu’une situation ou une partie du corps donnée, si c’est fort en émotion.

Dilution

Niveau I : Nom, pathologie 6k ou 12k

Niveau II : symptômes locaux 30k

Niveau III : concomitants (émotion)20k

Niveau IV : immuno-endocrino-nerveux, modalités générales, sommeil, (illusion)Mk

Niveau V : sensation générale, (sensation) 10Mk

Niveau VI : mouvement, motifs (énergie) 50Mk

Retour sur les minéraux

Dans ce royaume, le maître mot est STRUCTURE (+ relation).création ou maintient de la structure. Notion de complétude, la recherche de l’élément qui manque en nous. Les relations sont orientés par cette obsession, on recherche dans le partenaire ce qui nous manque pour être complet. FONCTION. On a du mal a voir au-delà des cases rigides dans lesquelles on a rangé les gens chacun a sa place, son utilité, c’est très rigide

Par ligne (période)

En allant de la période 1 à la 7 on est concerné par des problématiques correspondants à des ages de plus en plus avancés.

Période 1 (H) : conception, existence

Période 2 (Li) : séparation : « puis je vivre de manière indépendante ? est ce que je suis séparé ?

Période 3 (Na) : identité en tant qu’être séparé de la mère : est ce que j’ai une identité ?

Période 4 (Ca) : sécurité, protection

Période 5 (Sr) : créativité (performance) suis-je apte a sortir dans le monde extérieur ?

Période 6 (Ba) : être sur ses deux pieds, responsabilité

Période 7 (Ra) : désintégration, et la mort

Par colonne

Sur une même ligne, à mesure que l’on se déplace vers la droite, la structure (de la ligne) est de plus en plus complète. Alors qu’en début de ligne, la personne souffre d’un manque de la structure, il dépend de celle des autres, plus on s’approche de la droite plus il a su se construire sa propre structure, jusqu’à être capable d’être un roc pour d’autre à ce niveau. A droite, les problématiques sont liées à la rigidité de la structure ou à la peur de la perdre.

Des mots clefs du monde minéral

  • Colonne vertébrale, fondation, développement, désorganisé
  • Croissance, solidité, impression, ma faiblesse, planning, cassant, statistiquement, ponctuel, mes pieds
  • Relations, société, figures géométriques, vocabulaire mathématiques, construire, rayon, colonne, pilier, ciment

Période 3 (Na) : identité en tant qu’être séparé de la mère : est ce que j’ai une identité ?

Cette ligne contient : sodium(Na) , magnésium(Mg), Aluminium(Al), Silicone(Si), Phosphore(P), Soufre (S), Chlore (Cl), Argon (Ar)

Sodium (natrum) : la personne n’a pas d’identité, elle se conforme … je suis l’autre, c’est l’empathie à l’extrême. La personne est fusionnelle, il n’y a que l’autre qui compte, au risque de se perdre.

Magnésium : la personnalité de la personne commence à emmerger, mais elle refuse de l’assumer, car ça compromet sa relation à l’autre. Il ne demande qu’une chose c’est qu’on prenne les décisions pour lui, qu’on s’occupe de lui, qu’il puisse laisser de côté ce qu’il est.

Aluminium : la personne est confuse elle ne sait pas ce qui est d’elle et ce qui est de l’autre ???? la personne est alternativement (timide) soumise à la volonté de l’autre, et par moment elle lève la tête et s’oppose (courage).il veut être indépendant mais est incapable de se lancer de s’assumer. Elle est très malléable.

Silice : c’est tout le contraire, il est figé rigide dans sa manière de concevoir son identité.

Soufre : il se définit en opposition, de sa communauté d’origine, il veut faire son trou, sa vie , sa vision , exempte d’influence familiale, il est sensible aux regards des étrangers. Il pense mieux savoir que les autres.

Chlore : c’est encore plus prononcé, je suis tout sauf toi.

Na-Cl : alterne entre fusion et rejet caractérisé.

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