L’hypnose régressive ésotérique (méthode Grifasi)

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Tu en as marre de ta vie pourrie et de tous tes problèmes à deux balles ?

Et si je te disais qu’en fait tes douleurs de dos, et tes difficultés pour te concentrer sont le fruit d’une conspiration intergalactique qui te poursuit vie après vie depuis des milliers d’années ? Et si je te disais que là, tu crois être seul chez toi à lire ce fabuleux article sur mon site mais que dans la pièce il y un extraterrestre à tête de chat, interdimensionnel donc invisible, qui te manipule notamment pour te donner cette furieuse envie de te gratter le nez ? Et bien tout d’un coup ta vie est moins banale, non ? Ça lui donne une bonne dose de couleur, non ? Si ça te parle, alors tu seras peut-être intéressé par une séance d’hypnose régressive ésotérique (HRE), le genre de travail à tendance thérapeutique qui te fera retrouver par toi-même certains souvenirs de tes vies antérieures, et qui te permettra de percevoir d’autres niveaux de réalités où ta conscience s’est retrouvée confrontée aux influences de créatures qui pullulent dans ces espaces.

Mais peut être aussi que ce que tu viens de lire te semble stupide. Un discours délirant digne de notre bon vieux Sylvain Durif alias le christ cosmique. Et dans ce cas-là, vu que les vies antérieures et les extraterrestres, les démons et la magie ça n’existe pas alors il n’y a pas moyen que ces séances aient le moindre effet positif sur ceux qui s’y adonnent. Si c’est le cas, je pense que tu es dans l’erreur. Pas nécessairement pour ton avis sur le cross over science-fiction fantastique, après tout je serai incapable de t’apporter la moindre preuve définitive, dans un sens comme dans l’autre, mais plutôt au niveau de l’inefficacité de la technique, autrement dit de l’impossibilité qu’une fiction puisse changer la manière dont on vit. L’esprit a un fonctionnement qui est particulièrement fascinant.

Sylvain Durif

Durant l’été 2008, à la fin de ma formation en hypnose Ericksonnienne à l’institut français d’hypnose Ericksonnienne (IFHE), un de mes camarades a évoqué certaines expérience très intéressante qu’il avait pu faire dans le passé. Il avait développé durant des années des compétences dans d’autres types d’hypnose, et durant avec certains consultants les visites de souvenirs (appelée dans ce contexte : régressions hypnotique) avaient largement dépassé le jour de leur naissance pour finir par porter sur des évènement vécus dans des vies antérieures. Je le supplia de m’hypnotiser et de me faire revivre des scènes de mon lointain passé. La tentative se solda par un échec, vraisemblablement parce qu’après avoir fait une première séance d’hypnose particulièrement efficace avant la formation, personne n’a réussi à me faire rentrer en trance profonde.

J’étais fasciné par les histoires de vies antérieures bien avant cette aventure avortée. Après avoir tant lu sur le sujet j’aurai vraiment aimé avoir une expérience directe. Ça m’aurait permis de passer de la curiosité à une forme de conviction profonde. Pendant ces presque trente dernières années j’ai flirté avec bien des croyances et des mouvements spirituels mais je suis toujours resté sur le seuil. Ce que j’ai lu m’a offert un cadre et un système logique auxquels j’adhère non pas au travers de la foi mais de paris comme ceux de Blaise Pascal.

En hypnose Ericksonnienne, contrairement à l’approche classique on travaille essentiellement avec des métaphores, des petites histoires, des visualisations qui grâce à leur langage universel aident l’inconscient à enrichir son répertoire de stratégies, et ainsi lui offre la possibilité de faire de meilleurs choix. Dans certaines techniques on se cale sur les croyances, la culture et les images très personnelles de la personne, généralement recueillies durant l’entretien. Ces informations permettent d’offrir aux protocoles classiques vus en formation un habillage qui en facilitera l’acceptation puis l’intégration par le client. Après mon passage à l’IFHE j’ai continué mes recherches en hypnose et j’ai trouvé un livre très intéressant « Become the Dream ». Dans celui-ci, son auteur, Randal Churchill, propose une technique hypnotique qui m’a fasciné. Au lieu de partir d’un souvenir ou d’un protocole précuit, il propose de partir d’un rêve récent du consultant, ou du moins de la partie dont il arrive encore à se souvenir. Juste en fermant les yeux, en se rappelant de ces bribes et s’absorbant dans les détails de cette experience la trance se développe rapidement (sans avoir besoin d’une induction formelle) et en plus la personne se retrouve connectée à l’univers qu’elle avait engendré durant la nuit. Celui-ci devient un terrain de jeu qui sera exploré par l’hypnothérapeute, une métaphore de l’inconscient du client. En faisant parler les différents personnages qui sont autant d’aspect de ce dernier, on va pouvoir trouver le conflit qui était adressé par le rêve, et en suivant quelques règles simples, on pourra réconcilier ces différents aspects. On les fera travailler la main dans la main plutôt qu’en opposition, oppression/refoulement et vengeance/sabotage.

Dans les rêves, l’inconscient crée des histoires qui sont autant de représentation des flux énergétiques et informationnels qui l’agitent. Par une forme d’isomorphisme, la résolution métaphorique du rêve durant le sommeil ou plus tard grâce à l’aide du thérapeute dénoue des blocages au-delà de leur représentation.

Si Dolores Canon, figure majeure du New Age, n’a pas inventé l’hypnose orienté vie antérieure et extraterrestre, elle est sans doute celle qui l’a popularisé dans les années 80 sous le nom d’hypnose quantique. Elle mettait ses clients en transe profonde et leur faisait explorer parmi leurs vies antérieures celles qui étaient en rapport avec la pathologie les ayant amenés à consulter. En dehors des sessions thérapeutiques elle a aussi travaillé avec des personnes choisies pour faire des enquêtes et rentrer en contact avec des figures historiques comme Jésus ou Nostradamus. Durant d’autres enquêtes elle a communiqué avec différents extraterrestres généralement bien disposés envers l’humanité. Le principe qui relie ces deux types de pratiques est qu’au travers de l’hypnose on n’est pas en train de visionner des évènements comme on pourrait lire un livre ou regarder une vidéo. On est en contact avec la conscience, et on peut interagir avec elle comme si on était à ses côtés durant l’époque visité. On peut avoir des conversations, et s’il est impossible d’altérer les scènes on peut toutefois changer la manière dont la conscience va les considérer et ainsi briser la résonnance qu’il pourrait y avoir entre ces lointains traumatismes et la vie actuelle de l’hypnotisé.

Dans ses livres comme dans d’autres portant sur les régressions sur les vies antérieures, on présente ses retours comme spontanés. Dolores Cannon comme Edith Fiore et bien d’autres hypnothérapeutes  ont commencé leur carrière de manière conventionnelles avec des régressions ne remontant pas plus loin que la conception et puis il y a eu une bascule et les vies antérieures sont devenues la normes plutôt que l’exceptions. Dans ma pratique, même après avoir lu leurs livres, jamais un de mes consultant ne s’est retrouvé à régresser spontanément avant sa naissance ou est entré en contact avec des entités. Ils ne venaient pas pour ça, à priori ça ne faisait pas partie de leur culture et peut être pour ces raisons le contenu des séances était très « réaliste ».

Il y a une demi-douzaine d’année une amie à moi m’a conseillé de regarder sur Youtube les vidéos d’Aurore Chevalier. Sur sa chaine youtube cette dernière postait très régulièrement des enregistrements de séance d’hypnose régressive ésotérique faites selon la méthode Grifasi. Le concept était original, les séances étaient faites à distance via Skype et donc on pouvait voir sur l’écran morcelé une partie pour l’opératrice/hypnologue, une pour le client, et très souvent une troisième personne. La contribution de Calogero Grifasi au microcosme de l’hypnose fantastique était double : pratique mais aussi philosophique. C’est lui qui a eu l’idée d’intégrer, en cas de besoin, cette troisième personne qu’on appelle support ou encore télépathe, et qui va se faire hypnotiser à la place du client si ce dernier n’arrive pas à rentrer en transe assez rapidement et assez profondément alors qu’on le guide à travers son ordinateur. Le télépathe se connecte au client, vit en son nom toutes les aventures ésotériques et il règle aussi de la même manière les problèmes à sa place.

La philosophie Grifasi est sévèrement en porte à faux avec cette foi qu’on trouve habituellement dans le New Age selon laquelle nous sommes entourés de guides, d’anges, de maitres ascensionnés et autres êtres de lumière qui ne demandent qu’à nous aider. La vision de Calogero des mondes subtils est bien plus sombre. Elle tient plus de Laura Knight, David Hicke et de leur obsession contre les reptiliens que de Kryeon et autres channeling d’être lumineux venu guider l’humanité. Pour lui la plupart des êtres qui se présentent en session sont des prédateurs. Ils sont contrôlants, limitants et relativement mal intentionnés. La lumière n’est souvent que subterfuge, elle aveugle plus qu’elle n’éclaire, et cache aux crédules les mauvaises intentions de ces amis fortuits. Si les désincarnés (résidus éthériques des gens morts mais qui sont restés bloqués autour du plan terrestre) existent, ceux qui sont contactés par les spirites et médiums sont souvent des entités négatives se faisant passer pour le défunt. Capables de récupérer suffisamment d’information sur celui-ci pour pouvoir montrer pate blanche, une fois qu’on leur aura ouvert nos portes elles vont semer la zizanie dans notre vie. Ils se nourrissent de nos souffrances et de toutes nos émotions « basses fréquence ». Pour Calogero dans les mondes subtiles l’essentiel des âmes vivent leur vie chacune dans son coin, respectueuses des autres, de leur espace et de leur processus d’évolution. Le reste (reptiliens, gris, Insectoïdes, désincarnés, démons…) pas vraiment bienveillantes, vont nous traiter comme nous on traite les poulets, les bœufs et les cochons. Il vont venir nous interférer/parasiter.

Le New Age même s’il rompait avec bien des aspects peu ragoutants des monothéismes contrôlant les ayants précédés, a sans doute gardé un des pires aspects : celui de la dépendance et de la soumission (plus ou moins annoncée comme telle) à une ou des forces extérieures. Avec la méthode Grifasi, c’est terminé, pour libérer l’âme entravée, l’hypnotiseur ne fera jamais appel à un archange, un maitre ascensionné ou autre. Bien au contraire, l’idée c’est de responsabiliser la partie subtile du client, de l’autonomiser et ce, généralement, en l’aidant à se rappeler de son propre pouvoir et de ses capacités.

Maitres ascensionnés (photo non contractuel)

Autre changement : on peut réécrire l’histoire, d’ailleurs celle-ci est envisagée d’une manière tout autre. Fini les vies antérieures, on a maintenant des vies parallèles dans l’illusion du futur et du passé. Tout est simultané. On est dans le multivers, et donc ce que l’on vit est situé sur une ligne de temps parmi d’autres, et toutes ces lignes sont en flux, se croisent, se rassemblent et s’éloignent en permanence. C’est très malléable sur les plans subtils par contre dans la matière, l’intégration sera plus longue. Il faudra un temps de métabolisation pour que les changements très rapides produits durant la séance puissent s’incarner (dans une certaine mesure dans la chaire).

Après avoir visionné une poignée de vidéo d’aurore X chevalier, j’ai eu envie de tenter l’aventure. A l’époque ces techniques étaient moins populaires qu’elles ne peuvent l’être maintenant et j’ai pu avoir un rendez-vous assez rapidement. L’échange Skype a commencé par une réitération des points pour lesquels je consultais (déjà envoyés durant l’échange par mail), et ,comme je n’avais pas été capable de rentrer en trance avec le test d’induction fourni, une télépathe a pris le relai et a vécu mes aventures ésotériques pour moi. Guidée par Aurore elle a décrit ce qu’elle percevait et elle a effectué les actions dictées. En cours et surtout en fin de séance les points cités durant l’anamnèse ont été utilisés pour être sûr que l’on n’ait rien oublié, et pour distinguer parmi les problèmes que je rencontrais lesquels étaient dûs à une interférence ésotérique et lesquels avaient des causes différentes.

Durant ma séance ils sont tombés sur une de mes vies où j’étais un enseignant tant obsédé par sa recherche de connaissances ésotériques qu’il en a fini par pactiser avec une entité qui l’a floué et parasité pendant toutes les vies qui ont suivi. Un enseignant obsédé par la connaissance ésotérique, diantre où sont-ils allés chercher ça ? Est-ce qu’ils sont allés sur ma page Facebook pour se faire une idée de qui j’étais ou est ce que mon obsession pour la connaissance était épique, un trait de caractère tellement fortement ancré que je me retrouve vie après vie poussé dans la même direction ? Pas moyen de savoir… donc je décidai d’attendre les résultats. Comment ma vie allait-elle changer après ?

Et bien… aucun des points n’a connu d’évolution notable, ni trois mois après, ni cinq ans après, rien, quetchi, nada, zilch ! Je me suis désintéressé de cette approche pendant longtemps avec un arrière-gout d’inachevé. Durant cette période j’ai testé bien d’autres approches pour les mêmes problèmes, avec toute sortes de thérapeutes ayant bonne réputation, et ça a continué de résister.

Plus récemment j’ai fait tout un paquet de formations thérapeutiques dont la lecture d’annales Akashiques. Avec cette approche pour la partie « lecture » on fait appel à l’esprit saint, aux seigneurs des dossiers, aux êtres chers, aux enseignants qui sont sensé nous apporter l’information et la traduire dans des termes intelligibles. Pour la partie remédiation on invoque les archanges et on les fait nettoyer toutes sortes de pollutions et d’interférences. J’ai appliqué la méthode proposée durant cette formation sans même penser à son incompatibilité totale avec la philosophie Grifasi. Pour ma défense, il n’a pas écrit un livre ou un document la présentant comme un tout cohérent. La personne visionnant les enregistrements d’HRE est obligée de reconstituer le puzzle vidéo après vidéo.

Draconien (photo non contractuelle)

En lecture d’annales on imagine toute une foule de scènes, d’échanges etc, sans avoir la garantie qu’on ne soit pas en train de s’enfumer. Chacun des participants du stage de lecture des dossiers Akashique avait sa propre sensibilité, et quand on a fait des exercices où on devait tous lire la même même personne autour du même problème, on a eu le droit à autant de versions qu’il y avait de participants. Il y avait des éléments récurrents mais l’emballage lui variait grandement, certains étaient en mode conte de fée, d’autres en dessin animé, d’autres en mode plus réaliste, chacun avec sa métaphore.

Durant la formation en utilisant cette technique je me suis retrouvé en contact à plusieurs reprises avec des extraterrestres comme des baleines interstellaires. Quelques temps après j’ai été confronté à des draconiens qui avaient des projets un peu louches pour moi et ça m’a ramené aux HRE d’Aurore. J’ai commencé à regarder ce qu’elle avait produit depuis que j’avais pris mes distances. Je me suis penché aussi sur les travaux de ses collègues œuvrant avec la même méthode (la team Grifasi ).

Gris (photo non contractuelle)

Ce que j’ai « appris » m’a donné envie de faire la formation d’opérateur proposé sur le site de cette équipe. C’était pure curiosité, je voulais voir les coulisses, je n’avais pas envie de proposer ce genre de soins un peu trop perché et de détruire ma crédibilité en commençant à voir des interférences de reptiliens derrière tous les problèmes de mes consultants. Je parlerai de ce que je pense des différentes propositions de la grifasi academy dans un autre article. Huit mois après ma première formation chez eux et presque une trentaine d’heure de pratique j’ai presque autant de questions qu’avant de commencer. J’ai travaillé autant en tant qu’opérateur (hypnotiseur) que support (télépathe) et je n’ai aucune certitude quant à l’efficacité de la méthode pour des personnes un peu moins bloquées que moi ou quant à la justesse de l’information.

Dans d’autres méthodes, comme la médecine symbolique par exemple, il y a la croyance que la vie ne propose pas aux thérapeutes de situation qu’ils ne puissent gérer avec les outils dont ils disposent. Ça ne veut pas dire que n’importe quel thérapeute débutant est capable de résoudre les situations les plus complexes, mais plutôt qu’il sera naturellement guidé pour travailler dans une zone qu’il sera capable de gérer. Alors que je ne suis qu’un bleu en HRE j’ai bien l’impression que cette croyance s’applique aussi pour la méthode Grifasi.

Pendant un temps j’avais déduit du visionnage de séances que les entités ne pouvaient interférer que si elles y étaient autorisées d’une manière ou d’une autre par leur victime. Ça me hérissait le poil car dans la réalité, une personne ne va pas interférer avec ta vie en te rentrant dedans en voiture, en cambriolant ta maison ou te frappant dans la rue parce que tu lui as donné l’autorisation. Certes oui, à des niveaux très haut de conscience il parait que l’âme choisit les expériences que ses incarnations vont vivre et qu’elle va donc utiliser les autres acteurs pour l’aider à mettre en scène ce qui l’intéresse, et nos petits corps serviront aussi dans les pièces de théâtre de nos personnages secondaires pour leur permettre de vivre ce dont ils ont besoin. Sur le plan divin pourquoi pas, mais sur le plan physique ça me défrise un peu. Bref, tant bien que mal j’adhérais à ce cadre, et toutes les situations qui se matérialisaient en séance validaient cette croyance. Et puis j’ai lu, ou j’ai vu une séance sur Youtube qui ne cadrait plus et tout d’un coup, dans mes séances les entités se retrouvaient à parasiter les gens sans accord, sans contrat ou je ne sais quoi. Est-ce que le fait de m’ouvrir à une possibilité m’a permis d’accéder aux cas qui l’incarnent ? Est-ce que les cas à traiter n’ont pas vraiment changé et que c’est juste qu’avec mon vocabulaire agrandi j’ai pu les envisager à l’aide de métaphores un peu mieux ajustées ?

Falconiforme (photo non contractuelle)

Dans chacun de ces cas, c’était le télépathe qui racontait l’histoire. Du coup c’est à se demander s’il est en connexion télépathique avec le client ou avec moi (ou un peu des deux). J’ai par moment l’impression que si à la place de reptiliens de gris et de falconiforme, les croyances Calogero Grifasi avait été plutôt branché bisounours, les gens suivant sa méthode ne verraient que des histoires centrées autour de ces êtres aux couleurs chatoyantes dans leurs séances, et avec ce cadre, ce vocabulaire il arriveraient tout de même à trouver une métaphore du problème de la personne, et respectant la logique interne de celle-ci il pourrait résoudre les problèmes avec la même efficacité. Pour la méthode Grifasi les consultants (comme les opérateurs et leurs télépathes) ont vu des vidéos, ils sont plus que familier de cet univers, ils y adhèrent. Les métaphores qui vont remonter parleront à toutes ces personnes au niveau conscient comme inconscient.

En attendant d’y voir plus clair et de développer un modicum d’assurance quant à ce qui se joue, je vais continuer de mener l’enquête. Quand je propose à une personne de faire une séance d’HRE avec moi, je commence par séparer cette proposition de mes autres techniques thérapeutiques et je décris ça plus comme une aventure artistique ou encore l’exploration d’un rêve qui potentiellement pourrait avoir des effets débloquant pour certaines situations de leur vie.

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